12/01/2013
l'oeil, l'oreille & la plume : où suis-je Andy ?
04:57 Publié dans l'oeil, l'oreille & la plume | Lien permanent | Commentaires (0)
10/01/2013
clin d’oeil : Diego Rivera à New York
Frozen Assets 1931–1932
In Frozen Assets, Rivera coupled his appreciation for New York’s distinctive vertical architecture with a potent critique of the city’s economic inequities. The panel’s upper register features a dramatic sequence of largely recognizable skyscrapers, most completed within a few years of Rivera’s arrival in New York. In the middle section, a steel-and-glass shed serves as a shelter for rows of sleeping men, pointing to the dispossessed labor that made such extraordinary growth possible during a period of economic turmoil. Below, a bank’s waiting room accommodates a guard, a clerk, and a trio of figures eager to inspect their mounting assets in the vault beyond. Rivera’s jarring vision of the city—in which the masses trudge to work, the homeless are warehoused, and the wealthy squirrel away their money—struck a chord in 1932, in the midst of the Great Depression.
plus sur Diego Rivera
05:32 Publié dans clin d'oeil | Lien permanent | Commentaires (6)
09/01/2013
le corps, l'œil & la plume : Joëlle Bouvier & Régis Obadia vus anna jouy
L’amour contre
bras corps souffle
épuisement jeu de massacre
relevailles sans naissance
le vide
extensions du monde
et ce recroquevillement au centre
nous un instant
déployés- ensemble
et puis rien
plus rien
déployés ensemble
plus ensemble
plus déployés
plus rien
tendues violences. tu me prends le regard je te rentre dedans
je me jette contre. tes bras n’ouvrent pas ton corps, je me fracasse contre ta chair, je me frappe je m’élance. briseras-tu le mur arriverais-je dedans ?
mettre mon sang dans le tien me loger au travers. passer outre, passer, travers. j’essaie je refais, je m’élance. j’y vais de ma puissance de ma sueur de ma rage infernale. tu sais que je ne vais pas y parvenir. tu ne peux rien. me recevoir me renvoyer me retenir un peu pour me faire croire que tu comprends. mais tu ne comprends rien tu es loin , même près tu es loin même loin tu es loin.
démence de bélier, démence du besoin du désir de nécessité effroyable. avoir part de ton ventre retourner dans ta vie première. m’envahir de toi. fractions de particules je cours je bombarde mon désir au cœur des particules. tu es encore de pierre. même tes bras, ton cercle, l’anse.
Solitude en rage.
je ne cesserai donc jamais?
05:21 Publié dans le corps, l'oeil & la plume | Lien permanent | Commentaires (0)