09/12/2012
l'œil, l'oreille et la plume : hommage à Liborio Noval
Explorez ici l'univers photographique de Liborio Noval
le poème chanté de la vidéo
Paroles originales de Carlos Puebla
Aprendimos a quererte desde la histórica altura donde el Sol de tu bravura le puso cerco a la muerte. Refrain: Aquí se queda la clara, la entrañable transparencia, de tu querida presencia, Comandante Che Guevara. Tu mano gloriosa y fuerte sobre la Historia dispara cuando todo Santa Clara se despierta para verte. [Refrain] Vienes quemando la brisa con soles de primavera para plantar la bandera con la luz de tu sonrisa. [Refrain] Tu amor revolucionario te conduce a nueva empresa donde esperan la firmeza de tu brazo libertario. [Refrain] Seguiremos adelante, como junto a tí seguimos, y con Fidel te decimos : «¡Hasta siempre, Comandante!» |
Traduction
Nous avons appris à t'aimer depuis les hauteurs historiques, où le soleil de ta bravoure, assiégea la mort. Refrain: Ici repose la clarté, l'intime transparence de ta chère présence, Commandant Che Guevara ! Ta main puissante et glorieuse embrase l'Histoire, quand tout Santa Clara se réveille pour te voir. [Refrain] Tu arrives en brûlant la brise avec les soleils des printemps, pour planter le drapeau avec la lumière de ton sourire. [Refrain] Ton amour révolutionnaire te mène à un nouveau projet, où l'on attend la fermeté de ton bras libérateur. [Refrain] Nous irons vers l'avant comme joints à toi, nous continuons, et avec Fidel nous te disons : "Adieu, Commandant ! |
05:49 Publié dans l'oeil, l'oreille & la plume | Lien permanent | Commentaires (1)
08/12/2012
quelques notes dans la nuit
05:36 Publié dans livr'art | Lien permanent | Commentaires (1)
07/12/2012
l'oeil & la plume : dans tous ses éclats
texte bruno toméra photo montage jlmi 2012
Les éclats de la pulsion
j’ai cherché les éclats de la pulsion dans l’effondrement de la réalité
j’ai cherché l’appui du pouce et le claquement du majeur contre la paume des planètes
j’ai cherché l’orchestrale saccade des bras rythmant la pulsation infime du temps
j’ai cherché des orbites curieuses pour rouvrir mes paupières closes
j’ai cherché la brûlure de ton regard dans le matin rouillé de gel
j’ai cherché la paix dans la chaleur sereine de tes expirations
j’ai cherché à peindre les lettres du désir et je me suis serré contre toi
j’ai cherché à éparpiller le silence et tu as posé ton doigt sur ma bouche
j’ai cherché la chorégraphie de l’inutile ton corps magnifie l’inertie de l’essentiel
j’ai cherché la frontière déséquilibrée du langage tu m’as montré une mappemonde
j’ai émigré dans tes paroles
et je n’ai plus de pays. Je suis bien
05:33 Publié dans l'oeil & la plume | Lien permanent | Commentaires (3)