19/01/2018
l’œil & la plume... aujourd’hui c’est dimanche chant 3
Alors, pour la bonne cause,
je cause, je cause.
Why not ? Because,
to be or not to cause.
I have seen too much of my spleen.
I have been pas tout rose.
Alors, quand I feel pas très well,
quand mes cellules explosent,
je me défile à l’anglaise,
sur mon papelard de cellulose.
Mon papier est water plouf,
mon Waterman y jette l’encre.
Quand je suis down, quand j’ai pas pied,
quand je déchante,
my words are singing in the brain,
my brain is swimming dans mes veines.
Je suis championne of the world
de narration synchronisée.
Quand I feel pas très well,
quand je n’ai plus de hauts, quand je n’ai que des bas,
des bas qui filent, qui défilent,
je me défile always.
I do profile bas in my prose,
quand mes cellules osent faire les malignes.
Mes cellules qui explosent me collent à la peau,
pas celles qui sont grises in my brain,
mais celles qui se grisent au plaisir de se grimer :
What a sad game !
My skin se raconte dans mes carnets de Moleskine,
sur mon papelard de cellulose.
Mes cellules me collent à la peau,
comme des collants Well, quand I feel pas très well.
Mais aujourd’hui, j’ai des collants Dim (Pam Pam pam pam pam pam…)
Aujourd’hui, c’est Dim Dim Dim Dim dimanche,
alors, je divague sur des vagues de rimes.
J’ai traversé la Manche, ma manche retroussée
jusqu’aux bras de Morphée qui me donne la dose,
j’ai filé à l’anglaise,
mais là, j’ai dimanche à traverser.
fin
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18/01/2018
l’œil & la plume... aujourd’hui c’est dimanche chant 2
Shakespeare expose :
To be or not to be.
Si la question se pose
pendant que my life, insidieusement, goes,
moi, je cause, face ou pile,
toubib or not toubib,
God save the deal !
Pendant que my life, insidieusement, file,
God save the deal !
To cause, j’essaie, I say.
Je sais qu’il faut tout se dire,
why not my dear ?
To die ? No, my God ! J’me tire,
j’me taille, je ne me sens pas de taille.
When I feel qu’il est temps,
pour une trève, comme une rave party,
it’s high time to dream,
je suis dans un rêve, partie.
Je m’envole in the sky, tout feu, to fly,
comme Lucie sait le faire, elle, au LSD,
et aussi, Lucifer in the sky with démonts, elle, déesse.
Bye, Bye ! Je glisse dans mes failles et si je défaille,
je m’en lave les mains à la lave de mes volcans et je m’envole quand même.
Tant pis si je brûle les étapes in the fire.
J’me sauve. Farewell ! Goodbye !
J’m’en tire comme je peux, how I can.
Faut-il mentir ? Le puis-je ? Can I ?
Si je mens, je m’encanaille et je vais en enfer,
tout feu, to fly,
croix de bois, croix de ferraille.
Pour quoi faire ? Pour faire aïe ?
Where can I go avec mes rimes en aille ?
J’essaie, I try, mais comment faire ?
Bien faire, faire bien, well,
quand faire well a un goût de goodbye.
( à suivre )
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17/01/2018
l’œil & la plume... aujourd’hui c’est dimanche chant 1
Quand mes cellules explosent,
quand ma raison s’abolit
sur le lit d’un billard,
quand les dés semblent jetés
sur la jetée du hasard,
Quand je me sens mal armée,
ma manche retroussée
jusqu’aux bras de Morphée
qui me donne la dose,
je traverse la Manche
et je file à l’anglaise.
Mon cathéter, mon tunnel sous la Manche,
ne me dit pas : T’as qu’à te taire,
alors, ma prose émigre
sur mon papelard de cellulose.
Ma soif d’écrire n’est pas étanche.
Welcome in my brain swimming !
Quand mes cellules explosent,
je cause, je cause,
sur mon papelard de cellulose.
Je file à l’anglaise.
Why ? Because,
to be or not to cause.
I have seen mon spleen.
I have been pas tout rose.
To be or not to cause,
j’expire, j’explose.
( à suivre )
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