16/06/2017
l'oeil & la plume... epithapheïon
Je fus poète Si tu viens pour prier Si vous voyez mon chat
Qui le saura Qu’il te suffise de rire Ne le chassez pas d’ici !
Ca ne fait rien Pour te moquer de toi Je n’ai rien d’autre à dire
Je fus poète Si tu crois les prières
Elle éleva seule Fonctionnaire général Vous m’avez vu écrire
Ses trois enfants Des impôts, ma place Et cessant d’écrire, la
La misère seule Ne devrait pas être ici Mort a choisi pour moi
Resta un amant
J’étais ton épouse Même cette pierre J’ai connu Alexandre le
Fidèle, ton esclave J’ai dû l’emprunter Grec. Alexandre le Grec
Soumise: me voici C’est pourquoi mon M’a-t-il connu ? La mort
Jalouse la mort est Nom n’y figure pas Seule gardera le secret
Une femme qu’on
Dit de mauvaise vie
Il était pauvre Si cette tombe paraît A voir tant d’hommes
Et vieux, il respectait Si petite c’est qu’une En tuer tant d’autres
le vin, plus que le vin Petite fille voulait sa Il tua Dieu puis se tut
ne l’a respecté Poupée à côté d’elle
Maîtres éclusiers et Démétrius n’eut que J’ai demandé que l’on
Gardiens de phares Des filles c’est donc M’oublie; c’est inutile!
Ont disparu ; je suis La dernière fois que Ici, la mort ne célèbre
Venu pour être seul Vous verrez ce nom Jamais qu’elle-même!
Passants ne pleurez J’allais sur les 100 Je fus soldat et
Pas ! Trois fois je fus Ans et fis tailler ce J’avais 20 ans : mères
Marié. Enfin, plus de Marbre mais je ne N’enfantez pas
Mots, sauf le dernier L’ai pas vu achevé
Invisible en vivant Ne passez pas Ce fut une belle fête
Voici qu’on s’arrête La frontière il n’ya Qui dura longtemps
Pour relire qui est Rien à voir, tout Puis ce fut la gueule
Cet homme inconnu Est ici devant vous De bois pour toujours
00:15 Publié dans l'oeil & la plume | Lien permanent | Commentaires (0)
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