01/12/2017
l'oeil & la plume... la dame de Brassempouy
Maîtresse des lunes giboyeuses
Grand écart terre ciel
Grand corps d’argile aux seins sablonneux
Labyrinthe de tes mèches broussailles
Je décroche les pendus
Et les voilà qui renaissent
Dans tes champs de tourbe et de salaisons
Moi je voudrais être nue
Là où ta lumière danse
Je voudrais être ton levain d’amour
La calligraphie conjointe de tes courbes
Être sur tes côtes une vague endormie
Entre tes doigts le pli d’un paysage mûr
Oublier pour un temps
Les reptations aveugles
Des marées humaines
ce texte est extrait de Universelle, un essai inédit sur la Déesse Mère
00:00 Publié dans l'oeil & la plume | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
merci :-)
Écrit par : Cathy | 01/12/2017
Quand c'est beau... c'est beau. C'est tout !
Écrit par : jl | 01/12/2017
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